We are not gods II
L’artiste s’intéresse particulièrement ici au rapport que l’homme entretient avec l’histoire et sa conservation à travers la découverte du savoir et de ses symboliques.
En résultent les recherches du Codex que l’on attribue volontiers aux laboratoires scientifiques, mais dont les ambitions sont tout autres. Vidyakelie interroge l’interret pour la classification et surtout pour le poid de l’archivage et de la responsabilité de la conservation, garante de l’Histoire sur laqielle on peut construire, redefinir, de-construire .
Vidyakelie apprend ici les méthodes de gravure sur granit, procédé artisanal avec diamant très long et douloureux par la resistance à la soustraction de la matiere prehistorique. Elle utilise ici un vocabulaire pataphysique pour mieux interroger le savoir et le phénomène de sa monstration.
Ses pierres révèlent le désir profond de l’artiste de confronter les limites du savoir scientifique à la réalité de la Nature.